Dimanche, 27 janvier 2013
Ebahis !!
Je ne suis que rarement sans voix, mais en ce moment même, je ne sais pas quoi dire. Je n’ai jamais expérimenté ce que nous avons vécu ce soir.
Souvent, la guérison d’une personne malade produit un grand émoi dans son entourage immédiat. Ceux qui se tiennent à côté, voient le miracle se passer et cela a un profond impact sur eux. Ils se mettent alors à pleurer, à hurler, à sauter, à danser etc… et nous pouvons souvent voir de la plate-forme où un miracle s’est produit dans la foule. Nous nous sommes à vrai dire un peu habitués à ce phénomène au fil des années, car cela arrive régulièrement pendant la prière pour les malades. Mais cette soirée a été différente à tous points de vue …
Avant même que je ne me lève pour prêcher (pendant le moment ennuyeux des annonces), quelque chose commença à se passer sur tout le terrain à une échelle qu’il est difficile de décrire. J’avais la chair de poule lorsque nous avons vu des chaises roulantes, des béquilles et des déambulateurs voler dans les airs, absolument partout ! L’un après l’autre, après l’autre, après l’autre, jusqu’à ce que l’excitation de la foule de 250 000 personnes soit à son comble (même encore maintenant, le souvenir de cet instant est rempli de beaucoup d’émotions). Le rugissement de la foule devint de plus en plus fort, jusqu’à ce que nous, sur la plate-forme, nous nous regardions les uns les autres profondément choqués et avec une grande crainte de Dieu ! Il était difficile de croire ce qui était en train de se passer !
Les aveugles, les sourds, les muets, les paralysés ettoutes sortes de maladies et d’infirmités furent spontanément guéris – sans qu’une seule prière n’ait été dite et avant même que l’Evangile ne soit prêché. Cela me rappela des paroles que l’évangéliste Reinhard Bonnke a souvent dit : « Parfois, le Saint-Esprit ne peut plus attendre la fin de prédications ennuyeuses – cela Le démange d’accomplir de grandes choses ! ».
Maintenant, cet événement étonnant et historique vient de se terminer d’une manière théâtrale et toute notre équipe est remplie d’une crainte divine face à ce que Jésus a fait cette semaine. Près d’un million de gens ont assisté aux 5 jours de réunions. La manière dont Abidjan a été ébranlée est comme un épisode du livre des Actes. Cet événement restera inoubliable pour moi.
Merci, merci et merci encore à tous ceux qui nous ont soutenu financièrement et ont intercédé pour nous ! Vous faites partie de l’équipe et de la famille CfaN. Vous êtes coéquipiers avec nous dans la moisson. Nous vous aimons, nous vous apprécions et remercions Dieu pour vos vies.
Nous tournons maintenant nos regards vers le Cameroun où nous irons dans trois semaines tout juste. Nous croyons et faisons confiance à Dieu pour le reste des finances. Peut-être que le Seigneur vous inspirera à nous aider.
Bien à vous dans la moisson,
Daniel Kolenda, évangéliste
Ainsi que toute l’équipe CfaN